Cet après-midi pâle meurt sur les pins qui dansent dans la brise. Ils doivent résister aux stoïques hivernaux en général, à leurs feuilles brutes et sauvages, à la pluie sur les toits et à l’entrée corrompue dans le trésor de l’État. Le silence qui crie est ébranlé devant l'agonie du dernier rayon. La femme au parapluie et aux bottes noires traverse la rue sans son ombre.